William Miles
William Cillian Miles.
Il est le genre de gars qui a toujours vu les autres obtenir ce qu'ils voulaient quand lui n'y avait jamais droit. Enfant turbulant mais généreux. Son père a été arrêté et exilé à sa place pour avoir volé des médicaments pour sa mère malade. Il en est mort. Elle s'en est remise mais entrainée dans une dépression, elle se droguait aux médicaments jusqu'à en mourir le laisse jeune orphelin et en colère contre le monde entier.
De nature violente, il fait en sorte de toujours s'en sortir. Il faut ce qu'il faut pour survivre. C'est ce qu'il pense. Rien n'est trop extrême du moment qu'il survit. Il n'a pas de demi-mesure, il est très impulsif. Il donne l'impression d'agir plus que de réfléchir, pourtant il est brillant.
Il est un bon stratège. Passionné de lecture, il connaît bien Jules César et les grands stratèges, cela lui a permis selon lui de compléter sa réflexion sur l'être humain. Il pense l'être humain pourri, mais il a décidé qu'il serait le survivant parmi les pourris.
Il se battait très souvent sur l'anneau mais un jour une bagarre a dégénéré, même s'il prétend qu'il n'a que se défendre, cette bagarre a conduit à la mort accidentelle de quelqu'un cela lui a valu d'être enfermé. Il a assisté aux privilèges de certains sur l'anneau et cette inégalité l'a poussé à prendre ce qu'il voulait simplement parce qu'il le voulait. Il faisait ce qui était nécessaire pour assurer sa survie.
The Space Stoler
Sa mère était autoritaire et elle en a voulu à William de la mort de son père. Il a simplement voulu aider sa mère, c'était la peur d'un enfant de perdre sa mère. Son père quand à lui, a assumé son rôle de père en protégeant son enfant, comment en vouloir à William d'avoir fait ce qu'il avait lui-même envisagé de faire pour la sauver.
C'est à cause des abus répétés et des injustices qu'il est devenu froid et impulsif, maintenant on ne l'appelle que Miles. On le sait froid, têtu, extrême, m'enfoutiste. Plein d'humour et de sarcasme. Il a une tendance au vol, ou comme il le dit, il se sert. Alors qu'il se comporte avec le reste du monde comme le dernier connard, quand Emma, ou Carter comme tout le monde l'appelle parce que c'est ainsi qu'on appelait son père l'a sauvé, il a réalisé qu'il n'était peut être pas tout seul.
Même s'il continue de se comporter comme un connard égoïste, il a du mal à se détourner quand Emma a besoin d'aide ou qu'elle prend des risques. Il a un comportement de grand-frère et parfois de petit frère exaspérant avec elle. Elle est comme la soeur qu'il n'a jamais eu et c'est à son contact qu'il deviendra un peu plus humain.
Cette nouvelle forme de bienveillance permet à William de se familiariser un peu avec les autres et de tisser certains liens qu'il n'aurait pas eu si Emma ne l'avait pas sauvé. Il va progressivement qu'il y a du bon sur cette Terre même s'il trouve qu'elle craint. Une sacrée pétasse comme il le dit.
Mythe préféré : Pygmalion
Livre de chevet : Aucun.
Sport d'enfance : Il aimait fabriquer un petit ballon avec des cocottes en papier pour faire du foot
La chanson de sa playist en ce moment : Celle qui lui irait le mieux serait Sympathy for the devil.
Arme fétiche : Un pistolet mais tout ce qui tire en général
Sa saison préférée : L'automne
Son plaisir coupable : Le miel
Le pays qu'elle aimerait voir : aucun en particulier, il veut vivre
Son tableau fétiche : Il n'est pas très branché art
Son péché mignon : Il adorait passer la matinée dans son hamac
Une sale manie : Il est agressif verbalement quand il a peur
Son vêtement préféré : Son épaisse veste en cuir et tissu noir qui était à son père
Son endroit favori : La forêt
Un objet fétiche : une montre cassée dont il se débarrasse finalement
Activité préférée : Glander
Sa phobie : Perdre un proche
Deuxième prénom : Cillian
Surnom : Sa mère avant le drame l'appelait son petit lutin
Dernier apprentissage : L'arbalète mais il est nul
Un défaut certain : Il ne pardonne pas